Descendants de nazis et de victimes confrontent leur histoire
« Fallait-il être loyal envers ma famille et honorer leur promesse de rester silencieux ou la rompre consciencieusement en parlant du passé de mon père ? J'ai choisi de parler. C'est un devoir moral. Ce génocide n'est pas seulement « l’affaire» des persécutés et de leurs familles, c'est aussi «notre affaire» ». Un lourd héritage que porte Ulrich Gantz, fils d’un membre de la police du IIIe Reich et qui a fait partie de la "Einsatzgruppe B".